Le sport au service de la recherche sur le cœur

Ces deux entités aux vocations différentes, mais partageant les mêmes valeurs de solidarité, conjuguaient ainsi leurs ambitions dans la réalisation d’une action commune. La première Journée de l’Avenir était née.

En 2016, l’événement, devenu depuis les Journées de l’Avenir, bénéficie d’une mobilisation de l’ensemble des clubs de Pro A et de Pro B, sur 6 semaines, à l’occasion de 36 matches, autour d’une collecte de don en faveur d’une cause d’intérêt général. Ces Journées sont aussi l’occasion pour l’ensemble des acteurs de ce sport d’exprimer solidarité et soutien à l’un des leurs. Depuis le décès du joueur professionnel Thierry Rupert en 2013, les Journées de l’Avenir se sont donné plus spécifiquement pour mission de sensibiliser joueurs et spectateurs sur les risques et incidences d’une pratique sportive intense sur le cœur.

Cette année, grâce à la générosité de tous, un record de collecte a été battu, avec 21 670 € réunis. Cette somme sera intégralement versée à un projet de recherche sur le cœur. Les éditions précédentes avaient permis d’accompagner le projet E-care du Centich (2015), le projet SAVE du professeur Juthier (2014) et le projet en cardiopathie congénitale du professeur Boudjemline (2013).

Alain Béral, président de La LNB (au centre) et Ludovic Vaty (à droite), parrain des Journées de l’Avenir, ont remis ce chèque à Dominique Letourneau, président du directoire de la Fondation de l’Avenir le 9 juin, lors de la troisième manche de la finale de Pro A entre Lyon Villeurbanne et Strasbourg, en présence du président du club de l’ASVEL, un certain Tony Parker.