Les prothèses mammaires en silicone sont utilisées pour la reconstruction du sein après chirurgie en cas de cancer du sein. Il arrive que certaines femmes développent un syndrome d’intolérance aux implants, attribué aux particules de silicone pouvant diffuser à partir des implants. Le but de notre projet est d’identifier chez ces patientes les facteurs de prédisposition génétique qui pourraient expliquer le défaut d’élimination des particules de silicone. Cela permettrait d’envisager le développement de tests diagnostiques permettant de savoir si une femme présente un risque de développer des complications en cas de pose de prothèse en silicone.
Monsieur François-Jerome AUTHIER, CRETEIL