Depuis une décennie, nous assistons à une révolution dans le développement de thérapies pour combattre le cancer. Cependant, de nombreuses molécules entraînent des complications inattendues en particulier au niveau rénal, pouvant éventuellement conduire à une insuffisance rénale irréversible. Les mécanismes biologiques de ces effets secondaires ne sont pas connus.
Notre projet vise à décrypter ces mécanismes pour améliorer la prise en charge de ces patients cancéreux et ainsi éviter que leurs reins ne soient détruits par ces traitements. Grâce à ce projet, nous souhaitons identifier une molécule candidate (biomarqueur) pour prédire la toxicité rénale des anti-cancéreux.
Carole HENIQUE GRECIET, Paris