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Avec 18 000 nouveaux cas de carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures (CEVADS) par an en France, dont 50 % des stades avancés vont présenter une récidive locale ou métastatique, l’immunothérapie est une nouvelle possibilité thérapeutique pour ces patients en rechute. Cependant, son efficacité est variable et restreinte à un patient sur 5 pour contrôler durablement la maladie. Il est donc essentiel de mettre en évidence des marqueurs biologiques histologiques et sanguins pour mieux sélectionner les patients devant bénéficier ou non de ce traitement.
Notre étude permettra d’identifier de nouveaux marqueurs histologiques et sanguins afin de prédire l’efficacité de la réponse à l’immunothérapie et permettre ainsi une utilisation plus personnalisée.
Diane EVRARD, Paris