Ce projet, qui a pour objet d’étude la réparation du système nerveux grâce à des greffes de cellules souches olfactives, s’inscrit dans le cadre d’un consortium national inédit.
Cette transversalité entre des équipes issues de différentes entités est totalement inédite dans l’histoire des projets soutenus par la Fondation depuis 28 ans.
D’ici deux ans, lorsque le principe thérapeutique de la greffe de cellules souche aura été validé sur des modèles, cette pratique thérapeutique pourra être évaluée chez l’homme : en termes de faisabilité, sécurité et efficacité, notamment chez des patients ayant subi un traumatisme du nerf facial ou du plexus brachial.
Le professeur Michel Chamas témoigne de son implication dans le consortium Tournesol : entrevue à lire ici.
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Légende de la photo, de gauche à droite :
Marc Thillays, responsable recherche médicale pour la Fondation de l’Avenir,
Professeur Guy Magalon, président du conseil scientifique de la Fondation de l’Avenir,
Professeur François Féron, chercheur au CNRS à Marseille,
Docteur Camille Giverne, pharmacienne et chercheuse au CHU de Rouen,
Professeur Florence Sabatier, chef de service à l’hôpital de la Conception à Marseille,
Professeur Olivier Boyer, directeur de recherche à l’Inserm à Rouen,
Professeur Jean-Paul Marie, chirurgien et directeur du groupe de recherche sur le handicap ventilatoire au CHU de Rouen,
Dominique Letourneau, président du directoire de la Fondation de l’Avenir.
Les membres du consortium Tournesol se sont réunis à Paris le 10 mars 2016.
Les débats ont porté sur la validation des protocoles qui permettront de débuter la phase de tests pré-cliniques prévue dans le cadre de ce projet. A cette occasion, Etienne Caniard, président de la Mutualité Française, à saluer la qualité inédite de ce projet multidisciplinaire qui fait honneur aux vocations premières de la Fondation de l’Avenir : « promouvoir la recherche médicale et accompagner les chercheurs vers des outils permettant de travailler ensemble durablement ».